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viernes, 8 de marzo de 2013

L'Humanisme de la Renaissance

L'Humanisme de la Renaissance 

Dans l'Italie du 15ème siècle, un nouveau mouvement Humaniste puissant crut avec la Renaissance (la renaissance — un grand réveil dans le domaine des arts, de la littérature et de la culture du monde antique), qui reçut l'aide d'une vague supplémentaire d'érudits de la culture classique grecque, teintée, pour une bonne part, de connaissance du monde antique, qui se répandirent dans toute l'Europe lors de la chute de l'Empire d'Orient. Ils fuyaient les conquérants turcs musulmans qui s'emparèrent de Constantinople en 1453 et dont l'avancée menaçait la Bulgarie. À cette époque, l'Italie était désunie en tant que nation — et dépendait des principales cités autonomes pour son administration sociale, ce qui rendait possible une poussée d'intellectualisme sans aucun contrôle national. La cité de Florence prit la tête de cette poussée et devint l'axe central de ce mouvement d'érudition nouvelle. C'est de la culture florentine de cette époque que sont issus des noms aussi illustres que ceux de Michel‑Ange, Pic de la Mirandole et Botticelli. Au milieu de cette explosion culturelle se joua également le grand drame de la vie, de l'œuvre et du martyre de Savonarole, le réformateur. 
L'esprit de libre recherche se répandit rapidement à d'autres cités et au‑delà des Alpes pour éclairer l'Europe avec des idées nouvelles. Au cours des 100 ans qui suivirent l'époque de Wyclif et de Huss, des voix se levèrent de plus en plus pour demander une réforme religieuse de l'église romaine. Lorsque la nouvelle de la torture et de la mort de Savonarole ajouta l'idée d'urgence, John Wessel exposa ces principes d'argument théologique en faveur d'une réforme, principes qui devaient bientôt connaître leur maturité avec les enseignements de la Réforme. 
L'Humanisme de la Renaissance avait eu un effet sur un grand nombre des érudits qui avaient une position d'influence et de responsabilité au sein de l'église et de l'état. Surveillant la naissance du mouvement radical contre les abus de la puissance papale, et conscient qu'une réforme trop rigoureuse pourrait diviser l'Empire en parties combattantes, ce qui laisserait l'Europe vulnérable face à la puissance des Turcs musulmans du Sud-Est, ces Humanistes chrétiens (?) érudits cherchèrent désespérément à mettre en place des réformes moins radicales dans le cadre de l'église romaine. Cependant, comme les "prophètes de Baal" (1 Rois 18), ils échouèrent dans leur tentative et, peu de temps après, débuta la puissante œuvre de réforme religieuse de Luther et de Zwingle. C'est de cette façon que la puissance de Dieu dans Son peuple véritable provoqua cette réforme que l'Humanisme, même par ses interprètes les plus capables, ne réussit pas à effectuer.
 

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