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jueves, 9 de mayo de 2013

Dynastie Carolingienne

Dynastie Carolingienne

RangPortraitNomRègneTitresNotes
1Ludwig der Deutsche.jpgLouis II le Germanique
(806 – 28 août 876, Francfort-sur-le-Main)
843876Roi de Francie OrientaleLe 28 août 876 Louis le Germanique meurt et la Germanie est partagée entre ses trois fils: Carloman (v.829/30-880) eut la Bavière et l'Ostmark ; Louis III (835-882), la Saxe et la Franconie ; et Charles (839-888), l'Alémanie.
-Sin foto.svgCarloman
(830 – 29 septembre 880, Altötting)
876880Roi de Bavière
-Treaty of Fouron.jpgLouis III le Jeune
(835 – 20 janvier 882, Francfort-sur-le-Main)
876882
880882
Roi de Saxe
Roi de Bavière
2OttonCharles II le Gros
(Charles III en tant qu'empereur)
(13 juin 839 – 13 janvier 888, Neudingen)
876882
882887
881887
Roi d'Alémanie
Roi de Francie Orientale
Empereur d'Occident
A la mort de Louis III, Charles réunit entre ses mains tout l'héritage paternel.
3Die deutschen Kaiser Arnulph.jpgArnulf de Carinthie
(850 – 8 décembre 899, Bavière)
887899
896899
Roi de Francie Orientale
Empereur d'Occident
Fils illégitime de Carloman.
4Die deutschen Kaiser Ludwig das Kind.jpgLouis IV l'Enfant
(Juillet 893, Altötting – 24 septembre 911, Regensburg)
900911Roi de Francie OrientaleFils du précédent.

Dynastie des Conradiens [modifier]

RangPortraitNomRègneTitresNotes
5The King Conrad I enthroned.jpgConrad Ier
(890 – 23 décembre 918, Château de Weilburg)
911918Roi de Francie Orientale

Royaume de Germanie (919-962) [modifier]

Le Royaume de Germanie n'a pas réellement existé. Avec la fin des Carolingiens, les Ottoniens s'imposent et fondent une dynastie qui régnent sur la Francie Orientale. Pour nier la différence avec le Royaume de France, on l'appelle Royaume Teutonique. Ce ne sont que les historiens allemand modernes qui lui donnent le nom de Royaume de Germanie. Ce Royaume correspondait au départ au territoires du Franconie, du Saxe et du Bavière. Mais avec les nombreuses modifications territoriales, le titre de roi de Germaine est devenu honorifique et s'est même pratiquement confondu avec celui de Roi des Romains.

Dynastie Ottonienne [modifier]

RangPortraitNomRègneTitresNotes
6King of the Holy Roman German Empire Henry I. the Fowler.jpgHenri Ier l'Oiseleur
(876 – 2 juillet 936, Memleben)
919936Roi de Germanie
7OttonOtton Ier le Grand
(23 novembre 912, Wallhausen – 7 mai 973, Thuringes)
936973Roi de Germanie

Royaume de Germanie au sein du Saint-Empire (962-1806) [modifier]

En 962, Otto Ier est sacré Empereur du Saint-Empire créant, ainsi, le Saint-Empire romain germanique. Le Royaume de Germanie correspondait à une grande partie de l'Empire et constituait son territoire principal.
Nota Bene: Les personnalités ayant été seulement anti-roi sont en jaune. Celles qui ont seulement été associé au pouvoir (par exemple Henri Henri VII) sont en italiques.

Dynastie Ottonienne [modifier]

RangPortraitNomRègneTitresNotes
8OttonOtton Ier le Grand
(23 novembre 912, Wallhausen – 7 mai 973, Thuringes)
936973
962973
Roi de Germanie
Empereur des Romains
9Otton IIOtton II
(955 – 7 décembre 983, Rome)
961983
967983
Roi de Germanie
Empereur des Romains
10Otton IIIOtton III
(980, Kessel – 23 janvier 1002, Paterno)
9831002
9961002
Roi de Germanie
Empereur des Romains
11Henri IIHenri II le Saint ou le Boiteux
(6 mai 973, Bavière – 13 juillet 1024, Göttingen)
10021024
10141024
Roi de Germanie
Empereur des Romains

Dynastie franconienne [modifier]

RangPortraitNomRègneTitresNotes
12Conrad IIConrad II le Salique
(990 – 4 juin 1039, Utrecht)
10241039
10271039
Roi de Germanie
Empereur des Romains
13Henri IIIHenri III le Noir
(28 octobre 1017 – 5 octobre 1056, Bodfeld)
10281056
10461056
Roi de Germanie
Empereur des Romains
14Henri IVHenri IV
(11 novembre 1050, Goslar – 7 août 1106, Liège)
1054 - 1087
10841105
Roi de Germanie
Empereur des Romains
-Grabplatte Rudolf von Rheinfelden Detail.JPGRodolphe de Rheinfelden
(1025 – 15 octobre 1080, Merseburg)
10771080Antiroi
-Town Hall Eisleben-Smaller Detail.jpgHermann de Salm
(1035 – 28 septembre 1088, Cochem)
10811088Antiroi
15Conrad II of Italy .jpgConrad (III) le Franc
(12 février 1074, Abbaye de Hersfeld – 27 juillet 1101, Florence)
10871098Roi de Germanie
16Henri VHenri V
(11 août 1086, Goslar – 23 mai 1125, Utrecht)
10991125|
11111125
Roi de Germanie
Empereur des Romains

Maison de Supplimbourg [modifier]

RangPortraitNomRègneTitresNotes
17Lothaire IIILothaire III le Saxon
(9 juin 1075, Unterlüß – 4 juin 1137)
11251137
11331137
Roi de Germanie
Empereur des Romains

Maison de Hohenstaufen [modifier]

RangPortraitNomRègneTitresNotes
18Konrad III Miniatur 13 Jahrhundert.jpgConrad III (IV)
(1093, Bamberg – 15 février 1152, Bamberg)
11381152Roi de Germanie
19Sin foto.svgHenri Berengar
(1137 – 1150)
11471150Roi de Germanie
20Frédéric IerFrédéric Ier Barberousse
(1122 – 10 juin 1190, Rivière Göksu Nehri)
11521190
11551190
Roi de Germanie
Empereur des Romains
21Codex Manesse Heinrich VI. (HRR).jpgHenri VI le Cruel
(Novembre 1165, Nimègue – 28 septembre 1197, Messine)
11691197
11911197
Roi de Germanie
Empereur des Romains
22Frederick II and eagle.jpgFrédéric II
(26 décembre 1194, Jesi – 13 décembre 1250, Fiorentino)
11961198Roi de Germanie
23Philipp von Schwaben 1200.jpgPhilippe Ier
(1177 – 21 juin 1208, Bamberg)
11981208Roi de Germanie

En 1198, deux rois sont élus : Philippe Ier de Souabe et Otton de Brunswick, futur Otton IV. Les deux sont candidats auprès d'Innocent III pour la couronne impériale. Le pape prend le parti d'Otton IV, mais celui-ci ne sera couronné qu'après l'assassinat de Philippe Ier en 1208.

Maison d'Este [modifier]

RangPortraitNomRègneTitresNotes
24Otto IV 1836.jpgOtton IV
(Vers 1175, Normandie – 19 mai 1218, Harzburg)
1198 - 1215
12091215
Roi de Germanie
Empereur des Romains

Maison de Hohenstaufen [modifier]

RangPortraitNomRègneTitresNotes
22Frederick II and eagle.jpgFrédéric II
(26 décembre 1194, Jesi – 13 décembre 1250, Fiorentino)
12121215
12151220
12201250
Antiroi
Duc de Souabe
Empereur des Romains
25Jindra7.jpgHenri VII
(1211 – 12 février 1242, Martirano)
12201235Duc de Souabe, Roi de Germanie
26Conrad IV of Germany.jpgConrad IV
(25 avril 1228, Andria – 21 mai 1254, Lavello)
12371254Duc de Souabe, Roi de Germanie
-Heinrich Raspe.jpgHenri le Raspon
(1204 – 16 février 1247, Wartburg)
12461247Antiroi

Naissance du libéralisme

Naissance du libéralisme
Les théories politiques de John Locke sont parmi celles qui fondèrent le libéralisme.
La pensée libérale se construit entre le milieu du XVIIe siècle et le milieu du XVIIIe siècle, sous l’impulsion des philosophes des Lumières, en opposition à l’absolutisme politique légitimé par des conceptions religieuses. Les théoriciens du libéralisme sont nombreux et divers. Pour n’en citer que quelques-uns parmi ceux reconnus comme « grands penseurs libéraux » à la naissance du libéralisme, on évoquera Locke au XVIIe siècle siècle, Turgot ou Smith au XVIIIe siècle . La diversité de leurs écrits ne peut se comprendre qu'en fonction du contexte historique avec lequel ils étaient en interaction.
Il n’y a de liberté, pour Montesquieu, que si « le pouvoir arrête le pouvoir ».
Ainsi, John Locke pose ce qui deviendra les fondements de la philosophie libérale moderne, avec l’« état de droit », en organisant et en développant ses thèmes principaux : théorie des droits naturels, limitation et séparation des pouvoirs, justification de la désobéissance civile, affirmation de la liberté de conscience, séparation de l’Église et de l’État, avec sa Lettre sur la tolérance de 1699, où il combattit les doctrines religieuses intolérantes.
Hume, Condillac et Montesquieu, quant à eux, développent les conséquences de leurs positions philosophiques libérales dans les domaines politique et économique. Montesquieu (1689-1755), faisant face au pouvoir absolu de la monarchie française se soucie alors principalement d’instaurer une séparation des pouvoirs afin de limiter les abus du pouvoir exécutif du roi et garantir ainsi les libertés du Parlement et de la Justice avec L’Esprit des lois (1748). Il articulera une pensée républicaine et libérale, et défendit ainsi « la vertu civique, l’amour de la patrie et la liberté »[14].
Parallèlement, avec le développement de la circulation des échanges en Europe, des penseurs plutôt connus en tant qu'économistes, comme Turgot et Adam Smith prennent soin de rattacher leurs revendications pour les libertés économiques aux racines philosophiques du libéralisme, face à l'administration étatique alors très contrôlante. Adam Smith reste ainsi l'un des principaux théoriciens du libéralisme économique en fondant une théorie économique à partir d'une intuition de Bernard Mandeville. L’école libérale dite « classique » se constitue alors comme une pensée cohérente englobant tous les domaines de l’action humaine étudiés à cette époque.

Usages du terme Le mot

Usages du terme Le mot « libéralisme » naît sous la plume de Maine de Biran en 1818[8], il le définit comme « une doctrine favorable au développement des libertés[8]. »
De nos jours, le terme de libéralisme est utilisé dans des sens différents, plus ou moins larges, et quelquefois contradictoires. En partie à la faveur de ce flou sémantique, le libéralisme est l’objet de controverses nombreuses et souvent violentes qui résultent souvent d’un désaccord sur le sens même du terme. Si la reconnaissance et l'acceptation des aspects du libéralisme social et politique dépassent le seul courant libéral, le versant économique du libéralisme, lui, est beaucoup moins accepté (nombreuses prestations étatiques obligatoires, tentatives de contrôle de l'économie par le collectif). Certains opposants le considèrent comme une idéologie responsable de la plupart des maux du monde actuel, ou comme un courant de pensée étant aujourd'hui détourné de sa vocation d'origine, considérant que la liberté économique n'est pas automatiquement factrice de libertés individuelles pour tous les acteurs économiques.
Dans la tradition la plus ancienne, la liberté individuelle est un principe général qui s'applique à tous les domaines de la vie en société. Selon ce point de vue, c'est une erreur de séparer différentes formes de libéralisme, car toutes sont des conséquences indissociables d'un seul et même principe philosophique de liberté. Ce courant est souvent appelé « libéralisme classique » pour le distinguer des autres usages modernes du mot libéralisme.
D'autres auteurs ne voient pas le principe de liberté comme absolu et le prônent selon le domaine. Ils sont rejoints par des spécialistes qui ne s'intéressent qu'à un domaine bien précis, et qui pour cette raison évitent de parler du libéralisme en général. On distingue alors trois domaines principaux :
  • le libéralisme politique au sens étroit concerne l'organisation des droits politiques, tel est l’objet du principe de la « séparation des pouvoirs » ;
  • le libéralisme politique au sens large concerne un mouvement de sécularisation de la politique sur toute question de société comme l'indépendance de la politique vis-à-vis de la religion, de la morale, etc. ;
  • le libéralisme économique.
Bien entendu, cela n’a pourtant pas grand sens de séparer ces dimensions du libéralisme qui, historiquement autant que théoriquement, sont profondément liées parce qu'elles appartiennent fondamentalement au même mouvement de pensée et à la même vision d’ensemble de l’ordre social[9].
Les historiens des idées politiques, de leur côté, s'intéressent aux courants qui se sont réclamés du libéralisme à différentes époques et en différents lieux. Ils distinguent ainsi plus finement un grand nombre de variétés dans les courants libéraux[10]. C'est pourquoi le terme « libéralisme » recouvre aussi des réalités diverses selon les pays et leur histoire politique.
  • Aux États-Unis, on appelle liberals les sympathisants du Parti démocrate. Ce sont des progressistes à peu près équivalents aux sociaux-démocrates européens mais souvent en moins étatistes, ce qui les place à la gauche, voire à l'extrême gauche de l'échiquier politique américain : l'accent est mis sur la liberté de mœurs et les droits civils.
  • L'usage est plus nuancé en Europe, les Britanniques désignant par exemple par classical liberals les libéraux au sens propre et les Allemands par liberal les mêmes personnes. En France et en Belgique notamment, le qualificatif « libéral » sert soit à désigner une personne favorable au libéralisme économique ou au capitalisme, sans nécessairement faire référence à la philosophie libérale, soit à une personne favorable au corpus libéral.

Les différents courants au sein du libéralismeIl

Les différents courants au sein du libéralismeIl existe plusieurs courants de pensée libéraux qui se différencient notamment par leurs fondements philosophiques, par les limites et les fonctions qu’ils assignent à l'État, et par le domaine auquel ils appliquent le principe de liberté (économie, institutions politiques, domaine social). Le libéralisme a connu une fracture assez profonde à la fin du XIXe siècle, date à laquelle on a commencé à distinguer notamment en Angleterre, le libéralisme classique du nouveau libéralisme appelé aussi parfois social-libéralisme. John Maynard Keynes[5], dans la Théorie générale, a assimilé l'économie classique avec la loi de Say ou, dit de façon plus schématique, avec ceux qui prônent l'autorégulation des marchés. S'il a contribué par là à donner une signification forte à ce que pouvait désigner le libéralisme classique sous l'angle économique, cela ne va pas sans prêter à confusion. En effet, les grands économistes classiques anglais tels que David Ricardo ou John Stuart Mill auxquels l'expression peut faire penser sont considérés par Élie Halévy comme le versant économique de ce qu'il appelle le radicalisme philosophique et peuvent donc de ce point de vue être vus comme plus proches du social-libéralisme que du libéralisme classique qui à ce niveau a des racines plus continentales. En plus de ces deux courants, on peut citer le libertarianisme (minarchisme, agorisme et anarcho-capitalisme). Du point de vue de la théorie économique, il est possible de distinguer l'école néoclassique qui accepte en général une certaine régulation autoritaire des marchés et les écoles faisant une plus large confiance au marché telle que l'École autrichienne moderne, ou telle que l'école des choix publics étudiant l'instrumentalisation massive de la puissance publique par les lobbys de financiers, de medias, ou d'électeurs.

Le libéralisme

Le libéralisme est une doctrine de philosophie politique qui affirme la liberté comme principe politique suprême ainsi que son corollaire de responsabilité individuelle, et revendique la limitation du pouvoir du souverain.
Le mot libéralisme fait son apparition au début du XIXe siècle. Les racines du libéralisme sont plus anciennes. L'opposition à l'absolutisme du souverain s'est développée dans l’Europe des Lumières (XVIIIe siècle), mais aussi auparavant par la scolastique de l'École de Salamanque (XVIe siècle) faisant obligation morale au souverain de respecter les droits fondamentaux de chaque être humain au motif de sa nature de créature de Dieu, ou plus anciennement par les chartes médiévales (telles la Magna Carta) introduisant des droits fondamentaux dont le respect est exigé du souverain, ou encore par certains pans de la philosophie thomiste, eux-mêmes précédés par le principe de justice naturelle d'Aristote. La date des débuts formels du libéralisme ou de ses composantes politiques, économiques ou religieuses diffère selon les auteurs. De nombreux auteurs font commencer le libéralisme avec la Lettre sur la tolérance de John Locke (1689) qui complète les racines préexistantes.
Le libéralisme repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux qu'aucun pouvoir n'a le droit de violer. En conséquence, les libéraux veulent limiter les obligations sociales imposées par le pouvoir et plus généralement le système social au profit du libre choix de chaque individu[1]. La question de l'articulation entre « libéralisme économique » et « libéralisme politique » reçoit des réponses variées[2],[3],[4].
Le libéralisme prône la liberté d'expression des individus, dans le domaine économique, l'initiative privée, la libre concurrence et son corollaire l'économie de marché, et d'autre part, dans le domaine politique, des pouvoirs politiques encadrés par la loi librement débattue, un État de droit et des contre-pouvoirs.
Au libéralisme classique fondé davantage sur la liberté en tant que droit négatif (protection contre la coercition directe du souverain), s'oppose parfois le libéralisme social fondé sur la liberté en tant que droit positif (protection exigée du souverain contre la misère matérielle ou la pression morale communautaire, quitte à accorder au souverain un droit de coercition sociale à cette fin). Ainsi le libéralisme peut se manifester de façon forts diverses, voire opposées. Le libéral peut être suivant le cas celui qui exige de l'État qu'il brise une tradition qui contraint la liberté de l'individu (caste, statuts, discriminations et privilèges…), celui qui défend la liberté de pratiquer une religion ou une tradition, celui qui demande que l'État intervienne pour redonner une véritable capacité d'action économique (bridée par un monopole, la pauvreté, le manque d'éducation, de crédit ou autre), ou encore celui qui s'oppose à l'intervention du pouvoir (dans le respect de l'initiative privée, de la libre concurrence, de l’égalité de traitement…).
Les limites à fixer à l'action de l'État, ainsi que les modalités de l'action publique, notamment aux rôles respectifs de l'action administrative et de la loi, sont donc sujets à débat au sein même du libéralisme. La plupart des libéraux considèrent que l'action de l'État est nécessaire à la protection des libertés individuelles, dans le cadre de ses fonctions régaliennes, et nombre d'entre eux (comme Adam Smith, Raymond Aron, Karl Popper ou Benedetto Croce) acceptent et même recommandent certaines interventions de l'État dans l'économie, notamment en matière de contrôle et de régulation. À l'opposé, les libertariens de tendance anarcho-capitaliste refusent à l'État toute légitimité dans quelque domaine que ce soit.